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Une conception différente du bonheur
18 juillet 2016

Le bonheur s’inscrit dans nos vies comme le but ultime de l’existence. Les philosophes du passé et des temps modernes se sont tour à tour questionnés sur sa définition pour trouver un moyen d’atteindre le sentiment de plénitude. Dans cet article, SuperChance100, votre communauté pour remporter l’Euro Millions en groupe, souhaite vous rapporter leurs dernières conclusions.

Photographie de la page d'un dictionnaire où est affichée la définition du mot "recherché".

https://www.flickr.com/photos/arnaudlimbourg/11066905386/

Ose savoir ! La maxime des Lumières

Globalement, l’homme pense que le bonheur est lié au développement personnel. Une notion ancrée dans la culture occidentale depuis des siècles, notamment avec l’influence de la philosophie des Lumières. Les membres de ce mouvement ont œuvré pour faire progresser le monde, combattant l’obscurantisme grâce à l’épanouissement individuel et intellectuel. Cet idéal, une fois atteint, devait délivrer le peuple de toute forme d’oppression. Ce mode de pensée a en effet largement contribué à l’autonomie et à la liberté d’une grande partie de la population d’aujourd’hui mais qui désormais se retourne contre elle. En effet, dans le contexte actuel, ce fonctionnement conduit l’homme à s’isoler de ses semblables par crainte de perdre de l’autonomie. La quête du bien-être est-elle en train de tourner au cauchemar pour nos contemporains ?

Le revers de la médaille

Se recentrer sur soi, faire le point sur ses objectifs et ses envies sont des étapes importantes pour atteindre le bonheur mais lorsque la réussite tourne à l’obsession, les effets négatifs ne tardent pas à survenir. Avoir la gagne, ne compter que sur soi-même, être ambitieux et en pleine forme voilà le modèle d’excellence que nous impose de suivre la société. Cette mécanique offre la généreuse illusion que le bonheur est à portée de main pour qui veut bien faire un petit effort. Or, si être heureux relève du choix alors l’échec est aussi de notre responsabilité. C’est ce que déplorent plusieurs auteurs critiquant les dérives de cet individualisme radical. Rupture amoureuse, perte d’emploi, maladie grave, l’obligation de réussir force dorénavant à ressentir de la culpabilité à chaque fois qu’un problème arrive, expliquent Carl Cedeström et André Spicer, auteurs du livre « le syndrome du bien-être ». Jean-Pierre le Goff souligne également une incohérence dans ce schéma dans son dernier essai, « Malaise dans la démocratie ». Selon lui, la construction d’un individu se base sur un double registre paradoxal : « D’un côté, l’individu se doit d’être performant dans tous les domaines et de plus en plus tôt dans son parcours de vie ; de l’autre, il est à la recherche d’une image apaisée et pacifiée de lui-même et du monde qui lui procure sagesse et repos.»

Un objectif sans fin

D’autre part, comment expliquer cette vague de dépression qui tend à croître alors qu’il est à présent possible de retrouver son bien-être grâce à une tripotée d’écrits sur le bonheur, une liste de produits pharmaceutiques à n’en plus finir et même avec quelques cuillerées d’un yaourt riche en bifidus actif ? D’après Carl Cedeström et André Spicer, le problème est peut-être dans la solution. Ce martèlement du bien-être laisse penser aux consommateurs que le bonheur constant est une norme. Pour se conformer aux mœurs de la société, le citoyen a donc l’obligation d’être heureux et par conséquent de s’occuper de soi pour ne pas être considéré comme « déviant ».

Cette course effrénée vers un bonheur artificiel interminable peut trouver une issue. Le philosophe Matthew Crawford suggère que le vrai sentiment de plénitude est ressenti lorsqu’on se sent présent et fonctionnel dans le monde qui nous entoure. Il trouve alors incontournable de chercher un soutien auprès d’une communauté pour déployer son potentiel. En choisissant de jouer à l’Euro Millions avec SuperChance100, vous avez en quelque sorte fait votre premier pas pour rompre avec l’individualisme.

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Rédaction

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